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LES RÉSIDENTS DES OLYMPIADES ONT LEUR CLÉ

La majorité des occupants sont des personnes âgées, conformément au cahier des charges. Le maire a profité de cette remise de clés pour annoncer une densification de ce type d’habitat sur la commune.

La réalisation des logements a été confiée à l’entreprise Citeden Cougnaud, qui a proposé son système constructif tridimensionnel type modulaire au cabinet d’architectes Diagonale du Poiré-sur-Vie. Les logements T3 d’environ 70 m² ont pour objectif de maintenir à domicile des personnes âgées, avec un loyer aux alentours de 420 €. Vendée-Habitat a investi plus de 1,6 M € dans ce programme.

actu.fr/le-journal-du-pays-yonnais

INAUGURATION DE 13 LOGEMENTS CITEDEN

Les bénéficiaires des treize logements locatifs pour le maintien à domicile des personnes âgées des Olympiades ont reçu leur clé, lundi.
« Cette opération répond au plan local de l’habitat, entrepris par la communauté d’agglomération. Elle permettra aux résidents bénéficiaires de profiter du bien vivre à Mouilleron », commente Jacky Godard, maire de Mouilleron.
Pour ce projet, la commune a sollicité Vendée habitat. Pierre Berthomé, président, se réjouit : « Nous avons confié la réalisation à l’entreprise locale Citeden Cougnaud, qui avec son système constructif tridimensionnel type modulaire nous a permis d’avoir treize logements de belle facture d’environ 70 m² et un garage pour un loyer aux alentours de 420 € ». Édouard Skrzypczac, 80 ans, veuf, est un heureux bénéficiaire. « Je ne pouvais plus entretenir un terrain de 7 500 m². Ici, je pourrai avoir un jardinet, profiter de la proximité du pôle santé et avoir du contact humain. » Cette résidence est en effet située a proximité du pôle santé, inauguré en août, où exercent dix-sept praticiens médicaux et paramédicaux. Vendée Habitat a investi 1,6 million d’euros pour ces treize logements.

ouest-france.fr
citeden.com/13-logements-maintien-a-domicile-personnes-agees/

13 LOGEMENTS POUR LE MAINTIEN A DOMICILE DES PERSONNES ÂGÉES

Depuis 2013, ces derniers ont commencé à s’inquiéter du phénomène de désertification médicale. En effet, le maire Jacky Godard estime que « le remplacement des médecins partant à la retraite devient problématique car ceux qui s’installent aujourd’hui ne veulent plus travailler seuls et cherchent à se regrouper ».
D’où l’idée de créer un pôle médical pour favoriser l’accueil de nouveaux médecins et développer une synergie entre les métiers de santé.

Un constat partagé par Anne Aubm-Sicard, conseillère départementale « Nous accueillons 7 000 nouveaux vendéens chaque année avec une forte proportion de résidants de plus de 60 ans. Or, notre taux de présence de médecins est de 1/1600 (contre 1/1200 au plan national). Cela nous conduit à mener un plan d’action en faveur de la santé, en particulier par l’usage de la télémédecine et l’implantation de maisons médicales. »

13 logements
L’organisme Vendée-Habitat, représenté par son président Pierre Berthomé, a livré le chantier « La demande se fait croissante en Vendée, aussi, nous avons décidé de diversifier notre activité et d’accompagner les collectivités pour maintenir, voire renforcer la démographie médicale. Nous livrons ici notre 10ème pôle santé, pour un investissement de plus de 2,7 M €. »
Parallèlement à cette opération, des travaux sont en cours et 13 logements pour le maintien à domicile de personnes âgées compléteront l’occupation du terrain de 8 600 m². Là aussi, le chantier est supervisé par le cabinet Diagonale Architectes et confié principalement à l’entreprise Citeden Cougnaud « Le système constructif tridimensionnel (acier-bois-béton), type modulaire, permet des délais deux à trois fois plus rapides. »

*Quatre médecins généralistes, cinq kinésithérapeutes, deux chirurgiens-dentistes, six infirmiers.

actu.fr/le-journal-du-pays-yonnais
vendeehabitat.fr

RÉGLEMENTATION ENVIRONNEMENTALE 2020

Le secrétaire d’État Julien Denormandie a annoncé, le 8 mars dernier lors d’EnerJmeeting, que les critères « énergie » et « carbone » du label E+C- allaient être «décroisés». Pourriez-vous nous apporter davantage de précisions à ce sujet ?

Le secrétaire d’État Julien Denormandie a indiqué qu’il fallait concevoir une future réglementation qui conforte les orientations actuelles mais préserve les possibilités d’innovation en faveur de bâtiments à énergie positive et très bas carbone. Le cadre qui préside au Plan climat présenté par le Gouvernement en juillet dernier est l’objectif de neutralité carbone en 2050 et le bâtiment doit y prendre sa part d’effort. C’est l’esprit bien sûr du plan de rénovation énergétique des bâtiments mais la construction neuve doit aussi apporter sa pierre à coût maîtrisé.

Concrètement, tout en préservant les dispositions actuelles d’E+C- qui restent expérimentées, seront testées en parallèle des mesures permettant de préserver une dimension énergie et carbone avec : un socle unique à remplir combinant les deux vecteurs, et en plus une ambition à atteindre que les acteurs pourront satisfaire soit par le vecteur énergie, soit par le vecteur carbone, soit par une combinaison des deux. Ainsi, dès lors qu’ils respecteront le socle minimal «énergie» et «carbone», les maîtres d’ouvrage pourront développer des solutions très bas carbone ou à forte énergie positive, voire des solutions hybrides pour pousser l’innovation et le savoir-faire.

La modernité d’une réglementation, c’est de fixer un objectif et laisser les acteurs libres dans les moyens pour l’atteindre. Les travaux techniques ont d’ores et déjà commencé en ce sens avec la filière sous l’égide du Conseil supérieur de la construction et de l’efficacité énergétique (CSCEE – lire notre interview de Thierry Repentin à ce sujet, NDLR).

Avec le risque de voir une solution privilégiée par rapport à d’autres…

L’objectif n’est pas d’opposer énergie et carbone. Je rappelle que le Gouvernement s’est engagé, via le Plan climat, sur la neutralité carbone en 2050 : nous devons donc collectivement nous mobiliser en ce sens. L’objectif est donc de fixer un socle minimal exigeant «énergie » et «carbone», puis de fixer un objectif qui doit pouvoir être atteint par le levier «énergie» ou le levier «carbone» : c’est cohérent avec l’esprit de la loi pour un État au service d’une société de confiance (Essoc) qui demande de fixer des résultats et laisser les maîtres d’ouvrage libres des moyens de les atteindre. Les travaux techniques permettront d’éviter toute distorsion de cette nature.

Quels retours des acteurs vous ont fait opter pour cette solution ?

Le critère carbone 1 (C1) est assez accessible, semble-t-il. Le C2, nettement moins selon le mode constructif. Ainsi, de nombreux acteurs nous ont demandé de créer un niveau intermédiaire, entre C1 et C2, pour valoriser leurs efforts, qui sont réels, sans pour autant leur permettre d’atteindre le C2. Quelques acteurs, nous ont par ailleurs suggéré de fixer un seuil de carbone encore plus exigeant, un «C3». En ce qui concerne l’énergie, il se trouve que les premiers retour d’acteurs sont assez disparates : E1 et E2 sont plutôt accessibles, car proches de la RT 2012 en vigueur, mais E2 génère déjà des surcoûts ; et E3 et E4 sont clairement plus exigeants. D’où l’idée de recaler ces niveaux qui ne semblent pas assez bien équilibrés et progressifs. Par ailleurs, beaucoup nous ont fait remarquer que lorsque vous êtes déjà très bon sur l’un des deux critères, il est d’autant plus difficile d’être bon sur l’autre. Clairement, il existe une multitude de combinaisons possibles entre «énergie» et «carbone», et la logique consistant à fixer un niveau sera tôt ou tard dépassé par l’innovation. Ainsi, en proposant une exigence minimale sur l’énergie et le carbone, tout en laissant la liberté aux acteurs d’aller plus loin de la manière dont ils le souhaitent, nous maintenons l’ambition de la réglementation, tout en tenant compte de contraintes dont nous n’avions pas connaissance en 2016. Cette évolution tire donc les enseignements des premiers retours d’expérience.

Quel est le calendrier de la future réglementation ?

Initialement, la loi prévoyait que le volet carbone entre en vigueur dès 2018, et que les bâtiments devaient être Bépos en 2020. Ce calendrier paraît difficilement tenable aux différents acteurs, mais il faut maintenir l’ambition de la dynamique collective. Il est nécessaire de bien expérimenter pour apprécier les surcoûts induits par cette future réglementation : l’objectif est certes de produire des bâtiments performants mais aussi des logements à prix abordables. Cet équilibre entre performance et coût induit doit encore être travaillé. 2018 est clairement hors de portée aujourd’hui mais 2020 reste un objectif qui demandera d’accélérer car nous souhaitons aussi préparer les textes réglementaires avec les professionnels, donc leur mobilisation est plus que nécessaire.

Pourriez-vous nous faire un bilan de l’expérimentation E+C- à avril 2018 ?

Aujourd’hui, 123 bâtiments sont engagés dans l’expérimentation. C’est à la fois beaucoup et trop peu. Cela ne constitue pas un échantillon statistique (qui est plutôt autour de 1.000), mais cela représente tout de même 700 logements. Sur ces 123 constructions, 45 sont déjà labellisées. Soixante-quatorze sont des maisons individuelles, 39 de l’habitat collectif (23 en logement social, le reste en promotion privée). Le niveau moyen de performance est situé à E2-C1, qui ne sont pas les niveaux les plus ambitieux mais dont on doit apprécier les surcoûts induits. Pour le moment, le secteur tertiaire n’est pas trop représenté, mais comme c’est un segment traditionnellement plutôt en avance sur les autres, nous ne sommes pas inquiets. Enfin, sur les 123 bâtiments, tous les types de matériaux sont représentés. D’après nos estimations, 800 bâtiments devraient être comptabilisés dans l’observatoire. Comme vous le voyez, la dynamique est puissante.

Quel est le retour des acteurs sur les évolutions des critères énergie et carbone ?

Nous leur avons présenté notre projet dans le cadre du Conseil supérieur de la construction et de l’efficacité énergétique (CSCEE). Les retours ont été plutôt positifs. Cela a entraîné beaucoup de débats, ce qui est tout à fait normal pour un sujet de cette importance. Le socle commun énergie-carbone obligatoire ainsi que la préparation de la future réglementation seront définis en partenariat avec le comité de pilotage d’E+C-, qui compte plusieurs membres du CSCEE. Nous avons également abordé d’autres sujets. Tout d’abord, dans le critère énergie, nous tiendrons davantage compte des équipements d’intelligence dans le bâtiment qui peuvent apporter des économies d’énergie : gestion active des équipements de chauffage, par exemple, détection automatique des fenêtres ouvertes ou de présence…

J’imagine que vous prendrez soin de séparer le bon grain de l’ivraie dans ce cadre, puisque toutes les solutions proposées n’ont pas le même niveau de performance…

Tout à fait. Nous avons d’ailleurs lancé un travail de fonds pour identifier quelles sont les technologies les plus performantes, les coûts induits et quel est le niveau réel de performance de ces équipements entre ce qui est affiché commercialement et la réalité. Des simulations ont cours au Centre scientifique et technique du bâtiment (CSTB). Cela influera sur le calcul du critère énergie.

Vous souhaitez également retoucher la durée de vie des bâtiments, aujourd’hui fixée à 50 ans…

Ce projet vient également d’une demande des professionnels issus de différentes filières de matériaux. Actuellement, le calcul se fait sur une durée de vie de cinquante ans pour un bâtiment. Cela revient à faire l’hypothèse qu’il sera déconstruit dans cinquante ans, avec l’impact carbone déclenché à ce moment-là. Mais ce délai ne correspond visiblement pas à la réalité de ce qui est observé par les professionnels. Nous allons donc revoir la copie à ce sujet, en nous disant qu’à l’horizon 50 ans, une partie des bâtiments seront certes détruits, mais beaucoup d’autres seront rénovés plus ou moins lourdement. Ainsi, nous allons faire tenir un peu plus longtemps le gros œuvre (la structure) des bâtiments dans le calcul. Ce qui modifiera significativement les calculs de l’ACV. Nous souhaitons aussi, ce faisant, favoriser la réflexion pour le réemploi des matériaux. En effet, intégrer à la réglementation l’idée qu’un bâtiment durerait seulement cinquante ans aurait pu avoir des effets pervers sur la qualité des constructions neuves. Or, il faut que nous réfléchissions dès aujourd’hui à la gestion de la fin de vie des bâtiments. Chaque paramètre que l’on définit aura des conséquences importantes sur les décennies à venir.

En matière d’ACV, corrigez-vous les soucis rencontrés par les acteurs sur la base Iniès où sont répertoriées les FDES ?

Nous travaillons en effet avec les industriels pour développer ensemble des configurateurs de fiches environnementales, ou FDES. Plutôt que de valider des FDES une par une, nous validerons un logiciel qui générera autant de fiches qu’on le souhaite, en fonction de nombreux paramètres. Ainsi, les filières n’enverront plus des FDES, mais un configurateur validé. De quoi répondre aux attentes des acteurs, d’avoir un calcul d’ACV plus conforme et non plus des valeurs par défaut, pénalisantes.

L’observatoire des bâtiments E+C- a-t-il permis de faire ressortir un surcoût lié aux nouvelles règles du jeu, et si oui de quelle ampleur est-il ?

Nous n’avons pas encore fait une extraction des données, mais d’après les premiers retours dont nous disposons, si surcoût il y a, il n’est pas très significatif – en tout cas pour les niveaux les plus faciles à atteindre en énergie et en carbone. Par ailleurs, l’échantillon est, comme nous l’avons vu, encore incomplet, avec une surreprésentation des maisons individuelles. Je rappelle, quoi qu’il en soit, que les renseignements économiques que nous demandons aux maîtres d’ouvrage sont essentiels et que le bon calibrage de la future réglementation dépendra donc de cela. Cela doit être assez précis pour en tirer des enseignements, sans pour autant contraindre les acteurs à nous livrer trop d’informations. Aujourd’hui, avec E+C-, nous sommes dans une situation où les acteurs alimentent concrètement la préparation de la future réglementation. C’est là toute l’originalité de notre démarche qui va intégrer les objectifs annoncées à EnerJmeeting le 8 mars dernier.

batiactu.com

UN PREMIER HÔTEL POUR LE GROUPE COUGNAUD

Le groupe Cougnaud réputé pour ses espaces modulaires dédiés aux bureaux, a créé la filiale Citeden en 2016 pour étendre son concept aux logements. Citeden annonce la création d’un premier établissement hôtelier réalisé sur son modèle de construction. Il est ouvert à Le Vigeant (Vienne) près du circuit automobile du Val de Vienne. Cet établissement dénommé “La résidence des pilotes” dispose de 30 chambres réparties sur une surface globale de 1 069 m². La construction a été effectuée par les équipes de Cougnaud en seulement 3 mois. Les volumes ont été préfabriqués dans l’usine du groupe. Les matériaux utilisés sont le bois, l’acier et le béton.

ecobretagne.com

LA RÉSIDENCE DES PILOTES

Le gestionnaire du circuit automobile du Val de Vienne, situé sur la commune de « Le Vigeant » a fait appel à Citeden pour la construction d’un hôtel de 30 chambres baptisé « La Résidence des Pilotes ». Situé à proximité du circuit, cet hôtel de 1069 m², construit en 3 mois, a récemment ouvert ses portes pour accueillir les pilotes, les passionnés de sport automobile et les touristes de passage.

BEPOS ET CONSTRUCTION INDUSTRIALISÉE

“L’une des voies pour garantir le Bepos et une qualité de réalisation élevée en toutes circonstances est le recours à un système constructif industrialisé.

Dès l’automne 2016, Cougnaud Construction, l’un des leaders français de l’industrialisation des bâtiments de toutes sortes, a présente au congrès de l’Union sociale pour l’habitat (USH) à Nantes un prototype de maison Bepos. Depuis, l’entreprise a créé Citeden, une filiale spécialisée dans la construction de bâtiments très performants.

Cougnaud développe un système constructif modulaire 3D en filière sèche. Il repose sur des volumes préfabriqués, mixant le bois, l’acier et le béton. La structure en acier galvanisé garantit la rigidité, les murs-manteaux à ossature bois apportent le confort et la performance thermiques, les planchers en béton fournissent le confort acoustique entre niveaux et améliorent l’inertie thermique du bâtiment. Les modules 3D offrent une grande variété de dimensions et d’assemblages, capable de répondre à toutes sortes d’architectures.

Ce procédé Modulaire architecturé est couvert par l’Avis Technique n° 3/15-810, jusqu’au R+4. Complété par des pompes à chaleur, de la ventilation double flux avec récupération de chaleur et du photovoltaïque, le procédé de Cougnaud Construction permet d’atteindre les niveaux E3 et E4 du label E+C-, tout en offrant des délais de réalisation deux à trois fois plus courts qu’un procédé classique. Pour garantir la qualité, les équipes Citeden/Cougnaud qui préfabriquent le bâtiment en usine sont aussi chargées de son assemblage et du raccordement des fluides sur le chantier.”

Découvrez l’ensemble de l’article dans le numéro spécial “Les bâtiments à énergie positive” [Qualité Construction – Novembre 2017]
qualiteconstruction.com

LA CONSTRUCTION INDUSTRIALISÉE A L’ÈRE DIGITALE

Venez échanger sur les avantages de cette technique de construction pour répondre aux nouveaux enjeux de la construction : BIM, Réglementation Environnementale 2020, mixité des matériaux (bois, béton, acier), liberté architecturale, qualité usine, chantier propre, délai de construction, respect des budgets impartis…

 

VOS CONTACTS SUR LE SALON :

CITEDEN SIGNE UN HOTEL AVEC VUE SUR CIRCUIT

Les bolides qui laissent leur gomme sur le circuit du Val de Vienne ont un nouveau voisin. De ceux qui ne sont pas dérangés par le bruit des moteurs. Les pilotes et passionnés de sports mécaniques peuvent y dormir tranquille Citeden, la branche habitat du groupe Cougnaud, vient de réaliser un hôtel de 1 280 m² avec vue sur le circuit du Vigeant, dans la Vienne.

Construit et installe en 14 semaines

Les 30 chambres ont accueilli leurs premiers clients, quand la saison sportive a donné son départ. Le circuit du Val de Vienne, créé en 1990, a été relooké en 2012/2013. Homologué par la Fédération française de motocyclisme (FFM) et la Fédération internationale de l’automobile (FIA), il accueille chaque année 250 journées de courses auto et moto.

« L’hôtel, conçu sur deux niveaux, est entièrement réalisé en construction industrialisée. Ce qui a permis de répondre à deux enjeux principaux : la rapidité d’exécution et la qualité des finitions », dixit Citeden. Côté confort, le groupe mouilleronnais a su accélérer wifi, climatisation, très haut niveau de performance acoustique, terrasse ou balcon. Dans ses stands une lingerie et une salle de séminaire d’une capacité de 150 personnes. Mieux, en construisant et installant la Résidence des pilotes en 14 semaines, Cougnaud a gagné la course !

lejournaldupaysyonnais.fr
circuitvaldevienne.com
booking.com/hotel/fr/residence-des-pilotes

NOUVEAUX ET ECOLOS, LES LOGEMENTS SOCIAUX

Le maire. Régis Plisson, remet les clefs des logements sociaux de la rue du Pâtis à leurs premiers locataires, en présence de Jean-Yves Gicquel, président de Vendée logement, et Christophe Cougnaud, directeur général de Citeden.

Vendée logement et Citeden ont allié leurs expertises pour réaliser des bâtiments à énergie positive (Bepos) et réduction de carbone (E + C), le standard de construction à l’horizon 2020 les deux logements produisent plus d’énergie qu’ils n’en consomment et leurs performances environnementales sont excellentes, grâce à l’émission minimale de gaz à effet de serre de leurs matériaux de construction Des matériaux (acier, bois, béton) qui ont été mixés et assemblés en usine pour leur plus grande part, puisque 90 % de la construction des logements livrés a été réalisée sur le site de la société Cougnaud.

Connectés, en plus !

Ces deux logements sont aussi les premiers logements connectés de Vendée logement. Ils sont équipes de solutions numériques adaptées, gestion des consommations énergétiques ou contrôle des équipements électriques à distance par smartphone. Tous les locataires bénéficieront d’un coaching énergétique offert par Vendée logement, destiné à les accompagner à la lecture et l’utilisation des équipements énergétiques de leur sweet home Le montant de l’investissement pour ces deux logements s’élève à 258 DOO €.

lejournaldupaysyonnais.fr

INAUGURATION DES LOGEMENTS BEPOS

Les deux partenaires se sont alliés pour réaliser ces logements sociaux respectant le label E+C- (Bâtiment à Energie Positive et Réduction Carbone). Ce nouveau label certifié repose sur une évaluation de la performance énergétique et environnementale des bâtiments selon deux critères : l’énergie et le carbone.

Ces logements sont aussi les premiers logements connectés de Vendée Logement esh. Ils bénéficient de solutions numériques adaptées qui permettent notamment l’identification et la gestion des consommations énergétiques par le locataire et le contrôle des équipements électriques à distance, par smartphone.

>> Plus d’informations sur la maison BEPOS

vendee-logement.fr

NOVABUILD ET L’ALLIANCE HQE-GBC S’ENGAGENT

Cette convention marque pour l’Alliance HQE-GBC une étape de territorialisation lui permettant d’être au plus près des professionnels de terrain partout en France. Pour NOVABUILD, il s’agit de structurer sa démarche d’accompagnement des professionnels dans le cadre des transitions énergétique, environnementale, digitale et sociétale.

Citeden Cougnaud, adhérent de NOVABUILD, soutient et s’engage dans cette démarche en préparant la construction de demain.

Lire la suite de l’article :
novabuild.fr/actualites

LABEL E+C-

Lancés en  novembre  2016, l’expérimentation  E+C- et son label associé, constituent une première étape vers « la réglementation Énergie et Environnement de demain » et la généralisation de bâtiments à énergie positive et faible empreinte carbone. Pour atteindre les objectifs de ce défi collectif, les acteurs de la construction sont invités à participer à cette expérimentation nationale inédite.

Pour les accompagner et les aider à comprendre les enjeux, le contenu et, de façon concrète, le fonctionnement de l’expérimentation, et contribuer ainsi à son déploiement, le CSTB diffuse aujourd’hui une série de 5 vidéos.

Pédagogiques et didactiques, ces vidéos présentées, par Jean-Christophe Visier, directeur Énergie-Environnement au CSTB, abordent, en une dizaine de minutes chacune, les points-clés de l’expérimentation.

Accessibles gratuitement à l’ensemble des acteurs de la filière, ces vidéos permettent d’aborder les fondamentaux de l’expérimentation, tels que :
–  Les enjeux liés à la réduction des consommations énergétiques et des émissions de gaz à effet de serre pour la construction ;
– Les questions-clés pour se lancer dans l’expérimentation ;
– Les leviers d’actions pour réduire les consommations d’énergie et limiter les émissions de gaz à effet de serre ;
– Les outils (la méthode d’évaluation de la performance, les niveaux d’exigences, etc.) ;
– Les documents et supports de référence (le référentiel «Énergie-Carbone pour les bâtiments neufs »,l’Observatoire de l’expérimentation permettant le partage des expériences, sur le site Bâtiment – Energie Carbone, etc. ) ;
– Les modes de participation à l’expérimentation ;
– Les organismes certificateurs habilités à délivrer le label associé ;
– Etc

lemoniteur.fr

CITEDEN aux Trophées Logements & Territoires

La maison du futur est à Bellevigny

Avec le Puy du Fou, la Vendée a déjà prouvé qu’elle savait faire preuve d’inventivité. Vendée Logement ESH, marque de la Compagnie du Logement, fait un nouveau pari innovant : celui de la maison certifiée bâtiment à énergie positive (Bepos).

Lors du dernier Congrès HLM de Nantes, Vendée Logement ESH dévoilait le prototype de sa future opération à Bellevigny (85) : deux logements sociaux T3 totalisant 66 m². Même si un tel programme pourrait sembler anodin, la maison Bepos est amenée à faire date, pour trois raisons.

Tout d’abord, il s’agira de logements sociaux entièrement connectés, sachant tirer profit des dernières innovations numériques. Les maisons seront équipées de moniteurs permettant la gestion de consommations énergétiques par le locataire, ainsi que le contrôle des équipements électriques par smartphone. La domotique constitue une expérimentation suivie sur deux ans par Vendée Logement ESH.

L’aspect de la maison industrialisée vient ensuite. Elle est construite par Citeden, branche pour l’habitat du Groupe Cougnaud, spécialiste de la construction industrialisée d’avant-garde, avec qui Vendée Logement ESH a signé un partenariat, tout comme avec les équipementiers spécialisés Atlantic, delta Dore et Sustovi. Entièrement construit en usine avant leur livraison sur place, ce type de logement pourrait être reproductible à l’infini et à moindre frais. Le coût est, en effet, évalué à 1 350 euros (HT) du m². La promesse d’une réponse efficace et littéralement “clés en main” à la crise du logement, bénéficiant de surcroît du bonus de constructibilité de 30%.

Enfin, Vendée Logement ESH va même plus loin que le Bepos pour anticiper le futur label “Bas carbone”, afin que ces logements soient à terme éligibles au label BBCA et suivre l’empreinte carbone des bâtiments tout au long de leur cycle de vie. Avec son plancher en dalle béton isolant, sa certification RT2012 -50%, son chauffe-eau thermodynamique, ses radiateurs autonomes, sa toiture équipée de panneaux photovoltaïques et aérovoltaïques, ses murs à ossature bois, la maison à tout pour être un archétype de l’énergie positive. Il faut dire que Vendée Logement ESH avait déjà inauguré la tendance en octobre 2015, construisant 25 logements sociaux à énergie positive au Poiré-sur-Vie.

Une maison intelligente, produisant sa propre énergie, à faible coût et reproductible à volonté, livrée au premier trimestre 2017 : et si l’avenir du logement se trouvait en Vendée?

immoweek.fr

ORYON – Construction des premiers logements

PROGRAMME : 8 LOGEMENTS INTERMEDIAIRES

  • Groupement : Diagonales, architecte et CITEDEN.
  • 8 logements intermédiaires composés de 6 T2 et 2 T3.
  • Surface totale : 429,28 m² habitables
  • Chauffage électrique par radiateurs à inertie et production d’eau chaude sanitaire par ballon thermodynamique

> Plus d’informations

 

COUGNAUD, LE SEUL CONSTRUCTEUR CERTIFIE PAR LE CSTB

Sur dépôt d’un dossier, le CSTB évalue les nouveaux matériaux ou techniques et délivre des avis qui font autorité en la matière. L’obtention d’un avis du CSTB fait foi auprès des bureaux de contrôle et légitime les qualités techniques du produit.

En 2006, le CSTB a délivré un avis technique N° 2/06-1205 sur l’ensemble du procédé constructif de Cougnaud (cela couvre le respect et la bonne application des réglementations thermiques (RT 2005, parasismique avec des constructions jusqu’en R + 2).

En 2010, ce dernier a été reconduit en après de nouveaux contrôles du standard de fabrication (avis technique N° 3/10-651).

En 2016, renouvellement de l’avis Technique enregistré sous le N° 3/15-810, valide jusqu’au 30 Juin 2018. Le domaine d’emploi de notre avis technique a été élargi à tout type de construction (ERT, ERP, Habitations) pour des ouvrages à trois niveaux du-dessus du rez-de-chaussée, pour l’ensemble des zones sismiques métropolitaines et toute catégorie de bâtiment (I à IV), et les ouvrages pour lesquels une exigence REI 60 s’applique.

A ce jour, Cougnaud (incluant les entités “Cougnaud Construction” et “Citeden”) est le seul constructeur de bâtiments industrialisés à disposer d’un avis technique renouvelé et en cours de validité. Ce résultat concrétise le travail d’innovation permanent apporté à nos réalisations et leur adéquation aux attentes du marché.